Page:Meister - De la morale naturelle, 1788.djvu/125

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de réserve et de confiance qui fait toutes les délices de la société.

Que ne puis-je, ô G.. m.. ! rendre immortel le culte que t’a voué ma tendresse ! Pourquoi faut-il mourir sans laisser quelque monument digne de porter ton nom aux siècles à venir ! Que le mien demeure à jamais ignoré, j’y consens de bon cœur ; mais combien j’eusse été consolé à mon heure dernière, en me disant à moi-même : Je la ferai vivre encore après moi !