Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
a de charmant et de beau dans ces poèmes autrefois dédaignés, et nous, nous sommes fiers et heureux de voir salué comme un maître celui que nous aimions comme un frère.
J’arrêterai ici cette première causerie. Mardi
prochain je reviendrai sur mes pas et je vous
raconterai l’histoire à la fois très frivole et très
sérieuse de la Revue fantaisiste où débutèrent, non
seulement les poètes mais presque tous les
grands écrivains de ce temps, — et qui fut le
premier journal parnassien.
_______________