Page:Mendès - La Légende du Parnasse contemporain, 1884.djvu/97

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a de charmant et de beau dans ces poèmes autrefois dédaignés, et nous, nous sommes fiers et heureux de voir salué comme un maître celui que nous aimions comme un frère.


J’arrêterai ici cette première causerie. Mardi prochain je reviendrai sur mes pas et je vous raconterai l’histoire à la fois très frivole et très sérieuse de la Revue fantaisiste où débutèrent, non seulement les poètes mais presque tous les grands écrivains de ce temps, — et qui fut le premier journal parnassien.


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