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Page:Mendès - Petits Poèmes russes, 1893.djvu/53

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III

L’ANGE ET L’ÂME




Un ange traversa le minuit azuré !
L’ange disait le chant des célestes patries,
Et lune, étoile, nue, écoutaient, attendries,
Au bleu minuit, l’hymne sacré.