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L’ASILE
rère, s’il vous survient quelque douleur profonde,
Si la maîtresse en qui votre avenir se fonde,
Un soir, nue et farouche et les cheveux épars,
Se r’habille à la hâte en s’écriant : Je pars !
Et si, malgré vos pleurs de rage, elle vous laisse
Seul comme un chien perdu qui traîne encor sa laisse