Cette page n’a pas encore été corrigée
C’est une étoile unie à des flambeaux sans nombre.
Mais dans la nuit du monde, en voilant sa clarté,
C’est un pâle rayon perçant l’obscurité ;
La nuit bientôt s’écoule, et d’un réveil tranquille
L’homme jouit enfin dans ce dernier asile.
(Janvier 1825.)