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Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/134

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VI


Le vide que la mort de Caylus et de Maugiron avait laissé dans le cœur du roi avait besoin d’être rempli ; la pensée de la comtesse s’y présenta pour prendre place. Cette pensée fit taire les autres, et devint bientôt obsédante. Le billet qu’on se rappelle peut-être avoir été reçu par Françoise fut suivi de mille autres messages qui restèrent sans réponse comme le premier. L’amour de