Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/173

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tionner le salaire à l’excellence du travail : tenez, prenez cette bourse, maître Cecco. Êtes-vous satisfait ?

— Mille grâces, signor, mille grâces… À votre service.

— Je n’ai pas besoin, je crois de vous recommander le silence ?

— Soyez tranquille. Le soin que je prends de moi-même me le recommande assez.

— Adieu, donc.

— Adieu, signor.

Demeuré seul, Villequier reploya toutes les lettres de Françoise, et les renferma dans la petite cassette parfumée, mais il garda sur lui celle que Cecco venait d’écrire René relut ce billet, ainsi conçu :


« Cher Adhémar,


Pourquoi faut-il que votre Françoise ait été si long-temps aveugle du cœur ? Hélas ! il a profond et douloureux repentir, ce cœur contrit d’avoir vu si tard que c’était vers vous