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Elle est donc là, pauvre Élisa Mercœur,
Là ses quinze ans, là son âme et son cœur !
Th. C…
Tes vers te reflètent, âme passionnée,
Et celui qui les aime, Élisa, t’eût aimée !
V. Desp…
Le pauvre étranger qui morte te pleure, vivante il vous eut adorce.
Pauvre fleur de Bretagne, à notre amour ravie,
Pour prix de ton parfum sois à jamais bénie !
Un Breton.
Brise des bois, sur votre aile embaumée,
Jusques aux cieux élevez ma prière,
Et d’Élisa que l’ombre consolée,
Rende le calme aux vieux jours de sa mère !
E. Prainat.
Ô Elisa ! combien ton souvenir éveille de sympathie !
Aimez-la dans la tombe comme vous l’aimiez sur la terre.
Terre, sois-lui légère !
Poètes, venez pleurer vos vers harmonieux sur cette tombe chérie.
Prosper.