Page:Mercœur - Œuvres complètes, II, 1843.djvu/83

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III


S’il se trouve quelqu’un qui ait prêté l’oreille au dialogue de d’Entragues et de son ami, qui les ait examinés avec quelque attention, il aura deviné sans doute, au tremblement de la voix, à la mélancolique attitude de ce dernier, que le cœur du pauvre Birague soupirait d’amour, et depuis long-temps, pour les charmes d’une belle et noble dame.

La jeunesse, la grâce et la touchante beauté