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IV

RESSEMBLANCE PHYSIQUE.

Deux mois après un cercueil sortait encore de la maison de M. Dérigny.

Ce n’était pas celui d’Arthur, lui devait vivre pour long-temps, souffrir et pleurer.

C’était celui de sa mère.

Une seule de ces deux pertes eût suffi pour sillonner d’acres et incurables plaies dans un cœur aussi profondément sensible que l’était le sien ; deux coups pareils, et portés presque à la fois, l’avaient entièrement labouré.