Page:Mercœur - Œuvres complètes, III, 1843.djvu/340

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de toi et de mon fils, je ne vivrai pas un seul moment sans être tourmenté d’inquiétude, et torturé du besoin de vous revoir ; tandis que j’accuserai le temps, que je maudirai la triste nécessité d’exister loin de vous, toi, si la vue d’Ambroise te rappelle son père, tu penseras tranquillement à lui, et, patiente, tu m’attendras ! Ah ! tu es bien heureuse… Et moi !… Enfin Dieu ne le veut pas ! »