Page:Mercœur - Œuvres complètes, III, 1843.djvu/383

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Quand, sans égard pour les fraîches années d’Élisa Mercœur, sans respect pour ses vertus, pour son génie, comme sans pitié pour mes larmes, la mort l’entraîna dans la tombe, elle eut la douleur d’y descendre sans avoir vu se réaliser l’espérance la plus chère à son cœur ; avant d’avoir terminé ses travaux, dont le produit aurait pu, disait-elle, dans le cas où elle viendrait à mourir, assurer à sa vieille mère un sort à l’abri du besoin.