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II

PORTRAITS DE FAMILLE.

Comme il est possible que nous formions avec Arthur Dérigny une liaison plus intime que celle d’une connaissance de salon, il est bon, ce me semble, que nous prenions quelques renseignemens sur son compte, avant que la confiance entre lui et nous soit assez établie, pour qu’il en vienne au point de nous faire lui-même la confidence de ses pensées les plus secrètes, de ses émotions les plus voilées.