Page:Mercœur - Œuvres complètes, III, 1843.djvu/72

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

souffrances, amena l’aurore. Le silence succéda au bruit, la solitude à la foule. La lueur mourante des bougies luttant contre la clarté naissante du jour, des débris de fleurs flétries, écrasées, de la poussière sur le parquet, les meubles et les draperies… Voilà ce qui resta de la fête, comme ce qui reste souvent de l’existence et de la fortune dans l’espace d’une nuit au matin.