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ÉPÎTRE
DÉDICATOIRE
À L’ANNÉE
DEUX MILLE QUATRE CENT QUARANTE.


Auguste & respectable Année, qui dois amener la félicité sur la terre ; toi, hélas ? que je n’ai vue qu’en songe, quand tu viendras à jaillir du sein de l’éternité, ceux qui verront ton soleil fouleront aux pieds mes cendres & celles de trente générations, successivement éteintes & disparues dans le profond abîme de la mort. Les Rois qui