Page:Mercier - La Destruction de La Ligue, ou la réduction de Paris, 1782.djvu/125

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ont armé mon peuple contre moi. Quelle foule d’ennemis à domter ! La foiblesse n’est point mon partage. Mais que d’obstacles à vaincre ! que de partis à concilier ! que de factions à combattre ! Répondons à la rébellion par le courage, à la férocité par la constance, au fanatisme par la clémence. Je lasserai peut-être les farouches ennemis de la tranquillité publique. J’armerai du moins contr’eux les vertus faites pour amollir les âmes les plus dures…



Scène V.

HENRI, BIRON.
Henri.

Monsieur de Biron, vous commanderez cette nuit le poste de la Pointe-Notre-

    destructive s’étendissent non-seulement sur l’Europe entiere, mais encore sur les quatre parties du monde !