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Les Rêveries


A. — Rêveries sur la nature primitive de l’homme, sur ses sensations, sur les moyens de bonheur qu’elles lui indiquent, sur le mode social qui conserverait le plus de ses formes primordiales, par P....t Sénancour, premier cahier, à Paris, germinal an VI, chez de la Tynna, éditeur, rue Honoré, n° 100, en face de celle de l’Arbre-Sec, et chez Cérioux, libraire-imprimeur, quai Voltaire, n° 9.

(A la suite des « préliminaires » cette note : « des raisons particulières ont engagé à faire imprimer ces essais successivement, et par cahiers, dont la réunion formera un ou deux volumes, à la fin desquels seront placés les sommaires ou analyses de chaque Rêverie).

Ce premier cahier contient, avec les préliminaires, la 1re Rêverie et la 3e.

B. — Rêveries…, à Paris, chez J.-Ch. Laveaux et Compagnie, imprimeur-libraire, rue du Faubourg-Honoré, maison ci-devant Beauveau ; de la Tynna, rue Honoré, n° 100, en face de celle de l’Arbre-Sec ; Moutardier, imprimeur-libraire, quai des Augustins, au coin de la rue Gît-le-Cœur ; Cérioux, libraire, quai Voltaire, n° 9, An VIII.

Avant le titre, cette note : « La nature de cet écrit ne le laissant pas susceptible de classification, ni de divisions régulières, le contenu de chaque Rêverie sera indiqué dans des sommaires ou précis libres, à la fin du volume. »

Sur la destinée de cette édition, Sénancour donne, dans les Rêveries de 1833 (N. B., p. 353), les explications suivantes : « C’est en 1799 que cet écrit parut. La deuxième édition eut lieu en 1809. La première ayant été enfouie dans les magasins d’un spéculateur étranger à la librairie (parce que l’imprimerie de l’hôtel Beauveau avait été vendue à l’improviste), le libraire entre les mains de qui tombèrent ces ballots trois ans plus tard imagina de changer le frontispice des Rêveries et d’y mettre le mot seconde édition. (Voici le frontispice de cette fausse seconde édition : A Paris, chez Cérioux, libraire, quai Voltaire, n° 9. Lepetit jeune, libraire, palais du Tribunal, galerie de bois, n° 223, et rue Pavée-Saint-André-des-Arcs, n° 28, an X-1802.) Je n’étais pas en France. (Le manuscrit déposé par Mlle  E. de