Page:Merlant - Bibliographie des œuvres de Senancour, 1905.djvu/54

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une d’elles (de ces tribus) pénétra pénétrèrent chez les Chinois, qui dans la Chine. » les ont nommées Sinous. Il paraît

que dans la dynastie des Tcheou elles avaient une synagogue à KaiJong-Fou, qui était alors la ville la plus florissante de l’Empire. »

« En Espagne, au XV’siècle, on « En Espagne, en 1492, Torque

veut les contraindre d’abjurer, et mada en fait condamner au ban70, 000 familles sont bannies. » nissement plus d’un demi-million."

P. 188. Note sur les livres juifs, leur authenticité, avec renvoi à la page 10 de la préface de Salvador sur Moïse.

P. 193. Les bâtards n’entraient Addition. « Mais cela ne doit peutpas avant la 10 ? génération dans être pas s’entendre à la rigueur, l’assemblée du Seigneur. » puisqu’il est dit aussi dans le Pen

tateuque : « Les enfants ne seront pas punis pour leurs pères. »

Une citation d’Isaïe faite de mémoire rectifiée dans une note manuscrite.

P. 203, note manuscrite. « Le même mot ayant signifié, selon l’observation de Boulenger, temps et armées, le Dieu des Temps, Sabaoth est devenu, par une acception aussi dangereuse que dépla oée, le Dieu des armées, chez les disciples mêmes du pacifique législateur nazaréen. »

Page 285, dans le chapitre « De la Syrie et des chrétiens » Sénancour a mis cette fiche : « A l’article Syrie, sans doute’parler des Druses. V. Druses dans cahier d’annotations’p. 80. «

Page 287, il ajoute les développements suivants, avec notes : « Un solitaire appartenant peut-être à une secte connue chez les Hindous, et qui, sous le nom de Sabis d) existait encore dans la Perse au temps de Chardin, baptisa ses disciples sur les bords d’un torrent de la Judée ; il y baptisa, selon les expressions d’un uléma de Smyrne cité par des imans de Damas (mots rayés) un jeune sage (Jésus est qualifié dans l’édition de 1827 de « respectable moraliste « ) que bientôt plusieurs Juifs placèrent au nombre des prophètes. Il paraissait, poursuit-on, avoir puisé quelques notions particulières d’une haute doctrine, soit en Egypte,

(1) Ou Sabéens, nom que portaient aussi les anciens adorateurs du soleil (V. Sabéens dans cahiers d’annot.) (Note de Sénancour).