Page:Merrill - Les Fastes, 1891.djvu/18

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Des voix par la terrasse.
Des froufrous en la nuit,
Et des fuites sans bruit
Le long de la terrasse.

Silence ! au bord de l’eau
L’effroi blanc des toilettes
En les escarpolettes
Qui volètent sur l’eau.

Puis au clair de la lune
Éventails en émoi :
« M’aimes-tu ? — aime-moi ! »
Et la lune ! et la lune !

Ô doux temps de Lulli !
Iris et frangipanes !
Gavottes et pavanes !
Airs ailés de Lulli !