Page:Merrill - Les Fastes, 1891.djvu/27

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Donc ce ne sera plus que paroles en l’air,
Des étreintes de mains et de feintes tendresses,
Et tout le doux regret des spasmes de la chair.


Et lentement la voix des luths fond en caresses
Lascives pour leurrer vers l’oubli de la nuit
Les mauvais amoureux et leurs molles maîtresses

Dont les pas las s’en vont vers les lointains, sans bruit.