Page:Merrill - Les Fastes, 1891.djvu/53

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et sur les mers, les mers de lune, une galère
Funéraire a passé, portant un pavois d’or
Où désespérément un roi crépusculaire
Étend, sans voix, ses bras d’un geste de colère
Vers le Palais désert qui s’illumine d’or.