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Page:Merrill - Les Gammes, 1887.djvu/63

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REFRAINS MÉLANCOLIQUES




à Stéphane Mallarmé.



I


 
Ô l’ineffable horreur des étés somnolents
Où les lilas au long des jardins s’alanguissent
Et les zéphyrs, soupirs de sistres indolents,
Sur les fleurs de rubis et d’émeraude glissent !