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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/144

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Jeune femme attentive au silence du soir,
Êtes-vous le Regret ou seriez-vous l’Espoir ?
Que vous disent les voix qui dorment dans les chambres ?

Ah ! votre cœur a peur de ces tristes septembres
Où tant d’ailes vont fuir vers les soleils moins froids,
Et rien ne fleurit plus que la fleur de la croix.