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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/169

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Et enfin la voix de ma douce amie que je veux voir
Penchée sur son ouvrage et chantant comme une vierge,
Sans qu’elle sache que son amant fait le signe de la croix
Sur la porte de la maison où habitera notre Joie.

Chante, amie ! Je viens vers toi dans l’ombre. Prie, amie,
Au son de la cloche des morts qui m’appelle à la vie !