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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/204

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Légendes dont est claire et sonore mon âme,
L’hiver brûlant d’amour, les frimas et la flamme,
Tout le ciel annonçant à la terre Jésus,

Vous n’êtes que rumeurs et rêves sur la route
Pour les veilleurs dressés vers les astres déçus
Qui virent tant de dieux mourir de notre doute !