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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/117

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Et depuis, tandis qu’elle chante
En filant le lin pur des jours,
Il cherche, pour que Dieu les tente,
Ceux qui pleurent aux carrefours ;

Et, leur prenant la main, les mène
Au seuil béni de sa maison
D’où volent, conjurant la haine,
L’hymne de joie et l’oraison.