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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/120

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Je voudrais que ton nom même
S’éteignît pour la vie en moi
Et ne vînt qu’au soir suprême
Fleurir ma mémoire en émoi,

Comme une oraison qui pleure
Dans un cœur d’homme et s’y endort,
Et ne s’éveille qu’à l’heure
Du bon sommeil ou de la mort.