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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/13

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VITA

À A.-Ferdinand Hérold.

J’ai jadis crié mon orgueil
Bien haut, par la rue et la route,
Et je riais devant le deuil
Et je chantais devant le doute.

Et s’il m’arrivait de pleurer
Comme on pleure parmi les roses,
J’étais fier de me comparer
Aux rois qu’ont lassés trop de choses.