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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/135

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POUR NARGUER LA MORT

La Mort, par les chemins,
Amour, est en maraude.
L’entend s-lu, là, qui rôde
En soufflant dans ses mains ?

Quelqu’un pousse la porte :
C’est comme un bruit mouvant
De cloches dans le vent.
Que Dieu nous réconforte !