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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/165

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À CELLE QUI SE MIRAIT DANS L’EAU

Sous ton chapeau de primeroses,
Chère amoureuse du printemps,
Je t’ai surprise en maintes poses
Te mirant dans l’eau des étangs

Ou bien dans celle des fontaines
Qui s’égoutte des mascarons
Grimaçant sur les vasques pleines
Où tu trempes tes poignets ronds.