Aller au contenu

Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/167

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Ailleurs c’est la belle contrée
Dont les torrents ne pourront pas
Réfléchir ta face éplorée
Sous les lauriers et les lilas.

Car il ne faut pas trop connaître,
Amoureuse des calmes eaux,
Le regard éteint de son être
Pour crier sa joie aux oiseaux.