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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/210

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Dont le rêve poursuit la course des soleils
À travers le chaos du temps et de l’espace
Vers l’accomplissement des fins de notre race !

Vagabond, par-delà les tombes et les nuits,
Dressant mes mains noires vers l’aube, je te suis !