Aller au contenu

Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/25

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LA COURONNE

Avec des gestes d’apparat
Que rythmait l’orchestre des fêtes,
Il remit au prêtre castrat
La couronne de ses conquêtes.

Délaissant lors son majorat
Pour l’aventure et les tempêtes,
Il força, si loin qu’il errât,
Les peuples à prostrer leurs têtes.