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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/51

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MOURIR

Ici, devant la fenêtre
De la chambre bleue et grise
D’où je vois l’orme et le hêtre
Se balancer sous la brise,

J’arrête un peu ma faiblesse
Qu’enfièvre le crépuscule,
Doux malade que tout blesse
Et qui devant tout recule.