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CHAPITRE XII
Par chantage d’abord, puis par habitude, ensuite par plaisir je dus céder à tous les caprices de Guy Dimier.
J’arrivais à mieux le connaître. Il se croyait un grand artiste. Il adaptait l’art à sa recherche de sensations nouvelles. À son désir de voluptés neuves, de sadisme.
Bientôt je rencontrai dans son atelier d’au-