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IV

En route pour l’Olympe.

La chambre de Jean-qui-Lit n’est pas, à beaucoup près, aussi bien rangée que la salle d’étude de Snobinet. Il l’appelle tantôt son « cabinet de travail », tantôt le « Capharnaüm » parce que tout y est en désordre, ou la « Tour de Babel », vu qu’on y étudie le latin, le grec, l’allemand, l’anglais, ou aussi « l’Olympe ».

En effet, le long du mur, Jean, que la mythologie intéresse beaucoup, a collé une série d’images découpées ça et là et qui représentent la collection complète des dieux antiques.

C’est devant ces nobles personnages que pour le moment,