Page:Michaud - Le printemps d'un proscrit, 1803.djvu/229

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poëme nous en tiendra lieu. Vous êtes enfin vendu aux vœux de la patrie, vous êtes revenu parmi nous, vous y avez trouvé la paix ; vous nous la ferez aimer, en nous présentant le tableau de ces jours orageux qui né reviendront plus ; et je ne puis mieux vous comparer qu’à la colombe de la Genèse, qui revint dans l’arche pour annoncer à ce qui restoit de l’espèce humaine, que la colère du ciel étoit appaisée.

FIN.