Page:Michel - Contes et légendes.djvu/41

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

de la bonne grand’tante on prêtât chacun cent francs à six orphelins dont les uns avaient à soutenir leur mère, les autres leurs petits frères.

La bonne vieille, ce jour-là, pleura de joie, et cette action porta bonheur à tous, car elle vécut longtemps encore et les six commerces prospérèrent.