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LA MISÈRE

353 « Ayez pitié de moi, Gustave, ayez pitié de moi. » (Page 354.) donnerez jamais… Je ne mérite pas de grâce… Votre haine… Ne vous fâchez pas, Gustave, si j’ai parlé de madame votre mère, c’est pour vous dire que… ne me repoussez pas… Quelque avilie que soit une créature humaine, elle ne ment pas, quand elle prend à témoin sa mère morte !… Et moi, je voulais prendre à témoin ma mère morte !… » ((A témoin de quoi ? » « Valentine, les mains levées vers le ciel, s’écria : — Ma mère ! ô ma mère ! n’est-ce pas que l’enfant est à Gustave ?… >> LIV. 45. A. Fayard, éditeur. 45.