1. Et je vis d’autres montagnes sur lesquelles il y
avait des arbres, et il s’en échappait une sorte de nectar
qu’on appelle Sararâ et Galbaniun. 2. Derrière ces montagnes, je vis une autre montagne sur laquelle étaient des
aloès, et ces arbres étaient remplis d’un (fruit) semblable
à des amandes, et dur. 3. Et lorsqu’on broie ce fruit,
il l’emporte sur tous les parfums.
1. Après (avoir senti) ces parfums, comme je regardais vers le nord, au delà des montagnes, je vis sept
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Le 2® i^roupe, sauf E, W : « une autre montagne. » —
D, P, V, W, Y : « sur laquelle. »
Le 2® groupe : u et il (en) sortait de Teau, et il s’en échap-
pait, » etc.
« Broie , » d’après le grec Tpifôatv ; le traducteur éthiopien
a lu probablement Xà^xicv, car il a traduit « lorsqu’on prend ».
G, comme titre : « De Tarbre de la science dont mangèrent
Adam et Eve; où il vit les sept montagnes remplies d’épis odori- férants. » A « Des bocages d’arbres. » b u Sarran » (espèce de gomme). c u Une autre montagne à l’orient des extrémités de la terre et tous les arbres plein (sic) sur le champ, à la ressemblance des amandes {f, 3) lorsqu’on les broie. C’est pourquoi il est plus odo- riférant que tout parfum. » Ici encore, le texte grec est altéré. d Au début du verset , lacune ... « vers le nord , du côté de XXXIy 1. Le g&lbanum était une substance résineuse très odo- rante , qui entrait dans la composition des parfums sacrés : Exode,