les vis abandonner la maison du Seigneur et sa tour. Elles erraient en tout et leurs yeux étaient aveuglés. Et je vis le Seigneur dés brebis en faire un grand carnage dans leurs pâturages, jusqu’à ce que ces brebis eussent (encore) appelé ce carnage et livré sa place. 55. Et il les abandonna aux lions, aux léopards, aux loups, aux hyènes, aux renards et à toutes les bêtes, et ces bêtes sauvages se mirent à déchirer ces brebis. 56. Puis je le vis abandonner leur maison et leur tour et les livrer toutes (les brebis) aux lions, afin qu’il les déchirent et les dévorent, — [à toutes les bêtes.]
57. Et moi, je me mis à crier de toute ma force, et à appeler le Seigneur des brebis, et je lui fis voir que les brebis étaient dévorées par toutes les bêtes
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Q : « Je vis, et quand je vis elles abandonnèrent. » Le 2« groupe : « Seigneur des brebis. » Q : « dans leurs jours. » T : « et elles ne revinrent pas à sa place. » — Y : « leur
place. »
Q : M aux aigles. » A, V : « la maison de leur père. »
’^ G, M, Q : «< Seigneur des lions, w demandant le secours des nations qui devaient les écraser. Achaz appelle à son aide Téglathphalasar : II Rois, xvi, 7-18. Cf. les pro- phéties d’Isaïe à Ézéchias, qui avait commis Timprudence de mon- trer ses trésors aux ambassadeurs de Mérodach-Baladan : Is., xxxix. Par là même ils livrent Jérusalem , « la place du Seigneur, » à ses ennemis. . Les lions et les léopards sont les Assyriens et les Babyloniens. Les loups désignent les Egyptiens. Les renards sont peut-être les peuples voisins de la mer Morte : Ammonites, etc. (Cf. v. 42.) II n’est pas vraisemblable que les hyènes désignent les Éthiopiens (Charles , p. 242). Elles désignent plutôt les Syriens , un des peuples qui ont le plus souvent menacé Tindépendanee d’Israël. -58. Le Seigneur délaisse Jérusalem et abandonne Israël , puis Juda, aux Assyriens (lions) et aux Chaldécns. Cf. Is., lvi, 9; Jér., xii, 9; Éz., XXXIV, 5-8. — Toutes les bêtes paraît une glose.
