ment. Un accident survenu dans ses équipages l'avait arrêté, et il s’était détourné pour lui faire une visite.
Voilà comme vous vivez. Serrés enlraàeux terreurs,
gaziaignantadïan bas les i~è* : c›lt ës, d’enl1autl’ècr*asante idole qui chaque jam : pèse davantage, sans vaizs rèl’ugîez Sous elle. Vous ffiyèz, Gù’Zmall1eurau’xl zlllautel sanglant de llîoloah.. ’ la
Ce qu’il dévore, ce dieu terril ale, ce ne sant passeule1fnenlclasî :1div*idus ; ce sont les facultés, les paissances, las vitalités de la Russie. * *
De 1872 à 1825, vous assayálas l’a§ : livilé publique. La doucereuse paternité diàlexandre se fit laaëanfi* dènte de votre plišlanthropla. Le coup du *M décembre leffraya, serra les cœursilas refoula dans ïègcïsme.
L’activité littéraire centinua encare, au défaut de l*acti*s*ilé publique ; même danã cette sphêrra innocents, l’ame ; masa fui poùfaùiaîè, ~’lal paésîe tuée avec les paëles... Lermantaff ? mè. Gršlmièclaïî ’la tué ; Puschînefl tuè..Etda quelle tragique mqrtil a l W
Peu après 1840, finil ; votre littérature. *Grand si-H’ lance.. Vous ne parle ; z plus, Crayaz-*mus qu’en vous flianne quîttesa ? lfilonμma carrière nouvelle äe paf-SÊCl1lÎl1lîS~* sïešt aax*erta, ¿ plus profonde, plus lerrlbla, Ce despotî$me, ~§ uls¿ ; fp1’icî- Î exléråeur, maténel, il veut pénétrèr les aãn*1es, aet s’in qaiètB de lalai.. a
Voir des Idées révolutionnaires en Russie ; par Iscander, 1851 ; chez Frank, rue Richelieu. — J ’ai déjà signalé à l’attention ce livre héroïque d'un grand grand patriote russe.