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APPENDICE

À l’époque de l’influence italienne, le besoin d’harmonie et de clair obscur fait employer la grisaille pour les fenêtres d’Anet et d’Écouen ; c’est le protestantisme entrant dans la peinture. En Flandre, l’école des grands coloristes (Rubens, etc.) amène le dégoût de la peinture sur verre. Voyez dans la Revue française un extrait du rapport de M. Brongniart à l’Académie des sciences sur la peinture sur verre ; voyez aussi la notice de M. Langlois sur les vitraux de Rouen.

fin du tome deuxième.