210 — page 308, note 2 — Chronique de Georges Chastellain…
En citant pour la première fois Chastellain, je ne puis m’empêcher de remercier M. Buchon d’avoir recherché avec tant de sagacité les membres épars de cet éloquent historien. Espérons qu’on publiera bientôt le fragment qui manquait encore et que M. Lacroix vient de retrouver à Florence.
211 — page 308 — Les princes du Rhin tendaient la main à l’argent anglais…
Procuration du roi d’Angleterre au Palatin du Rhin pour recevoir l’hommage de l’électeur de Cologne. (Rymer, t. IV, p. I, p. 158-159, 4 mai 1416.) — Autre au Palatin du Rhin (pensionnaire de l’Angleterre), pour qu’il reçoive l’hommage des électeurs de Mayence et de Trèves. (Ibid., p. II, p. 102, 1 april. 1419.)
212 — page 310 — Les politiques doutaient fort de l’utilité du Concile de Constance…
Petrus de Alliaco, De Difficultate reformationis in concilio, ap. Von der Hardt, Concil. Constant., t. I, p. VI, p. 256. — Schmidt, Essai sur Gerson, p. 57 ; Strasb., 1839.
213 — page 313 — Jérôme de Prague était venu braver l’Université de Paris…
Royko, I theil, 112. Jean Huss avait, dit-on, défié l’Université de Paris : « Veniant omnes magistri de Parisiis ! Ego volo cum ipsis disputare qui libros nostros cremaverunt in quibus honor totius mundi jacuit ! » (Concil. Labbe, t. XII, p. 140.)
214 — page 314 — Gerson avait écrit à l’archevêque de Prague pour qu’il livrât Jean Huss au bras séculier…
« … Securis brachii secularis… In ignem mittens… misericordi crudelitate. Nimis altercando… deperdetur veritas… Vos brachium invocare viis omnibus convenit. » (Gerson. Epist. ad archiepisc. Prag., 27 mai 1414. — Bulæus, V, 270.)
215 — page 315, note 1 — Jean Huss et Jérôme de Prague…
V. les détails du supplice de Jean Huss et de Jérôme. (Monumenta Hussi, t. II, p. 515-521, 532-535.)
216 — page 316 — Les gallicans n’eurent pas la réforme…
Clémengis leur avait écrit pendant le concile qu’ils n’arriveraient à aucun résultat : « Excidit spes unicuique unquam videndæ