Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/24

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TOCSLKSSKKVtTKLH!,
M)’t’<eipitai)tvcrstoCattct)itte,entumu!te.
Vu-t’en! Va.t’en’
Le Catéchiste,qu) a gravi les mtrchtt, se retourne )cnt<nent tur
le seuil et lève, pour bénir, les brax.
LE CATÉCmSTE,
avec une douceur to)ennp))e.
La paix
Soit avec vous, mes fr&res!
Ils reculent comme saisis de t’etpect; il entre dans la maison.
BRtSËÏS
0 vieillards, pourquoi tremblez-vous?
Quel est ce pàleet doux visiteur qu’on redoute?
STRATOKLÈS
Te vois le messager d’un Dieu triste etjatoux.
0 Brisëïs, écoute!
Sur le bel Olympe neigeux
Trônent les Immortels dans l’orgueil de leur gloire
Zeus flamboyant, Zeus orageux.
Apollon au plectre d’ivoire,
Pallas guerrière. Arès qu’empourpre la victoire
Avec Kypris aux tendres jeux;
Et du mont qu’environne un lumineux mystère
La joie et la beauté rayonnent sur la terre.
Mais des hommes en mer, la nuit,
En passant près d’une ite sombre,
Ont entendu le lamentable bruit
D’une voix qui criait dans l’ombre
« Pan est mort Pan est mort! Pan est mort! »Et cebruit
Semblait faire éternelle et sans bornes la nuit