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Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/33

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HYLAS,
sans se retourner et les écartant d’an geste.
Enfants, laissez-moi. Je n’ai qu’un souci
Hejoindre dans Corinthe aux murailles hautaines
Ma Briaéïs
MYRTO
Corinthe est loin Hci.
UYLAS
Où suis je donc ?
NAÏSS
Jadis, les Xymphes des fontaines
Riaient dans ces bois enchantés;
Mais des chrétiens venus de terres très lointaines
Y célèbrent, dit-on, leurs rites détestés.
Viens avec nous
UYLAS
Il n’est qu’une ville sur terre,
Corinthe, où Briséïs m’attend 1
Vierges, enseignez-moi la route salutaire
Vers mon amie au cœur constant.
Uveut se dresser il se senttropfaible,retombesuis.
MYRTO,
avecdesrires.
Va donc retrouver ton amante,
Fiancé fervent.
WYHHIOKA,
lui montrantunsentier,quipasseentreles arbres,derrièreFaute)
chrétien.
Pendant deux jour<, le lonj.; de la merécumante,
Tu marcheras vers le soleil levant.