Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/63

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HYLAS,
!t!<ntmouvement.
Quel souftte plus léger qu’un ~Msemeet de nue?.
i! <-earh-vt’n le milieuduthMtre.se retournelentement,aperçoit
tianceeimmobHe.
Ko’m o’i dejoK’
Rrist’fat destins amis
)ta)SÉ(-
sansbouger,lesbraspendantssontles voUe*.
tn’attendais-tu pa<. Hytas?Je fjis venue
Ainsi que je l’avais promis.
En vain la route e<t ~nëbreuM,
t’ n vain le lourd portail de l’ombre s’est fermé,
Itien ne peut détourner les pas de l’amoureuse
En chemin vers son bien-aimé.
MYjLAS,
!n<trt;<tntde sortird’etantM.
C’est toi Je sens mon cu’ur charmé
S’ouvrir comme une Heur heureuse 1
Ht’tVMce,pM*ion))C)))m)t.
poor entMtr Britth elle a )ttM~
tombertot.to))):voile.)!y)a*sjtrr&te,et:
Mais que vous êtes pâte, aujourd’hui, ma chère Amet
HMWEÏS
Cest qu’aux lieux d’ou je viens il n’est couleur ni flamme.
HYLAS
Dans vos yeux où riait t’azur
Je vois comme une e auroresombre!
Btostta
C st que mes yeux sont pleins dt t’ombre
D’un sommeil lourd et très obscur.