rais ceux de Vernol ; ce beau garçon me prit
dans ses bras, il me couvrit de baisers et de
caresses ; il bandait de toute sa force. Je
tenais son vit ; mon papa maniait ses fesses
d’une main, et de l’autre les tétons ou le con
de Rose, qui nous caressait tous trois. Cédant
enfin à notre fureur amoureuse, Vernol me
renversa, écarta mes cuisses, baisa ma motte,
mon con, y mit sa langue, suça mon clitoris,
se coucha sur moi et me fit entrer son vit jusqu’aux
gardes. Mon papa se mit aussitôt sur
lui ; Rose était sur les genoux, appuyée sur
les coudes, son con tourné de mon côté ; elle
entr’ouvrit les fesses de Vernol, en mouilla
l’entrée, et conduisit le vit de mon papa dans
la route qu’elle lui avait préparée. Pendant
qu’ils agissaient, elle chatouillait les couilles
de l’un et de l’autre. Je tenais son con, j’y
mettais le doigt, je la branlais ; bientôt ma
main fut toute mouillée ; ses transports, qui
parurent les premiers, nous excitèrent vivement ;
Vernol la suivit de près ; mon papa
s’en aperçut : il hâta sa course, qui m’était
favorable ; je doublai mes mouvements, et
nous tombâmes presque aussitôt dans la
même extase ; nos trois individus, unis, n’en
faisaient, pour ainsi dire, plus qu’un que
Rose couvrait de baisers.
Revenus à nous-mêmes, nos caresses remplacèrent nos transports et remplirent le temps que le plaisir nous laissait à parcourir ; elles nous remirent bientôt en état de le ra-