Page:Mirbeau - Après dîner, paru dans L’Aurore, 29 août 1898.djvu/9

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sanglantes. Sans quoi, au lieu de courre le cerf, de servir le sanglier, de massacrer d’innocents volatiles dans les luzernes, soyez assuré que c’est à nos trousses que « les esprits cultivés » lanceraient leurs meutes, que c’est nous que « les natures policées » abattraient joyeusement à coups de fusil, ce qu’elles ne manquent pas de faire, du reste, quand elles ont le pouvoir, d’une façon ou d’une autre, avec plus de