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pieds duquel, auteur, directeur et public se traînent agenouillés, comme devant une idole, — au rôle inerte et passif d’un instrument. Si l’air est joli, s’il vous fait rire ou s’il vous fait pleurer, est-ce au violon que vous en êtes reconnaissant, est-ce le haut-bois que vous applaudissez, est-ce au trombone à qui vous jetez des fleurs ? Le comédien est violon, haut-bois, clarinette ou trombone, et il n’est que cela.
Il y a aussi le côté macabre et sinistre qui seul suffit à justifier et à faire re-